la baule+ 40 | Mai 2024 La Baule via Cap Atlantique : diagnostic assainissement ou racket fiscal ? Dans votre édition d’avril, le maire de La Baule s’élève à juste titre contre le racket fiscal de plus d’un million d’euros pour non-construction d’immeubles sociaux. Il existe à La Baule un autre racket fiscal, plutôt discret : ainsi si vous vendez un appartement ou une maison vous devez présenter au notaire un diagnostic assainissement : votre habitat est-il bien raccordé au tout à l’égout ? Pour un habitat individuel, pourquoi pas, mais pour un immeuble situé à 200 m de la rue Lajarrige on a quelques doutes. En effet, quel est le promoteur qui se risquerait à ne pas respecter les lois et règlements d’urbanisme locaux. Ainsi fin 2022, suite à la vente d’un 2 pièces, Cap Atlantique a dépêché deux personnes (oui deux) pour constater que les WC ne se répandent pas dans la rue, idem pour l’évier et le lavabo : coût : 87,33 E (TVA à 10 %). J’ai eu droit à un rapport de quelques lignes avec un beau dessin de niveau cours élémenEn réaction au texte du collectif Nouveau Souffle publié dans notre précédente édition, nous avons reçu du comité directeur du La Baule Tennis Club la réponse suivante : « Nouveau Souffle », le vent de la (fausse) discorde Le comité directeur du La Baule Tennis Club souhaite réagir à la publication du collectif « Nouveau Souffle » dans cette même rubrique dans l’édition du mois précédent de La Baule+. En effet, une nouvelle fois nous avons été choqués par la teneur de leurs propos violents, mensongers et diffamatoires, que l’on retrouve dans l’ensemble de leurs publications. Bien que seulement une vingtaine, les membres de ce collectif sont particulièrement actifs en matière de propagande. Pourtant nous avons été patients, leur tendant la main pour un apaisement des choses. Hélas, jamais ce mouvement contestataire n’a souhaité le dialogue, mais seulement le départ des membres du comité directeur actuel dont les deux élus de la municipalité. Rappelons que le Sporting et le Garden sont des sites municipaux et non privés mis à disposition par la mairie qui y a investi près de 3 millions d’euros, et qu’en conséquence celle-ci a un droit de regard légitime sur leur bonne gestion. Faute de réaction positive à nos demandes de retour à davantage de sérénité, nous nous sommes résolus à assigner en référé pour diffamation une quinzaine de membres de ce collectif. Des élections ont eu lieu avec une forte participation des centaines de nos adhérents et ont rendu leur verdict. Comme souvent lorsqu’elles sont perdues, l’amertume peut être forte au point de les contester par n’importe quel moyen. La dernière AG du 27 janvier en a été une démonstration, les membres élus de « Nouveau Souffle » démissionnant aussitôt, espérant de nouvelles élections… D’ailleurs, à cette occasion, le comportement pour le moins agressif et l’attitude provocatrice des membres de ce collectif ont outré Catherine Gallot, vice-présidente de la FFT présente ce jour-là. Qu’ils se rassurent, il y aura des élections lors de la prochaine AG ordinaire et des postes seront à pourvoir…. En attendant, nous appelons une dernière fois ce collectif à cesser toute propagande agressive et diffamatoire pour le bien des adhérents, des salariés, des bénévoles, des touristes… et surtout des enfants qui pâtissent de ces actions. Montrons l’exemple : il est temps d’enterrer les querelles et de retrouver les valeurs du sport pour le bien de tous et pour l’amour du club. Prenons tous ensemble soin de notre belle association afin qu’elle ne soit pas détruite. La Baule Tennis Club n’a jamais compté autant de licenciés, d’adhérents, d’élèves adultes…. Notre projet strictement associatif se met en place, il aura bien plus de chances de réussite dans un climat serein en respectant l’investissement très conséquent des contribuables baulois. Courrier des lecteurs Réponse du comité directeur du La Baule Tennis Club au collectif Nouveau Souffle taire. Je suis rassuré, tout va à l’égout. Remarque : à Pornichet, cette règle idiote n’existe pas, par contre les résidences secondaires sont surtaxées. D.S. de Boissieu (courriel) Vitesse en ville. 30 ou 50 km/h, c’est souvent que ces chiffres nous sont proposés. Je relève dans l’édition du Code de la route Rousseau 2024 les données suivantes. À 30 km/h un piéton qui a un accident avec une voiture a 90% de chances de s’en sortir. À 50 km/h, 20% de chances. À 70 km/h, les chances du piéton sont réduites à 0,5% ! Référence code Rousseau page 59. La réduction de la vitesse en zone urbaine (surtout quand il y a beaucoup de piétons qui traversent pour faire leurs courses) semble donc être une donnée qui devrait être plus respectée. La pose des panneaux 30 ne suffit pas bien sûr à ralentir la circulation des voitures, 2 roues motorisés, etc. Sans doute un radar pédagogique ou autre apporterait (peutêtre) une solution. Michel Rival (courriel) L’humeur de Dominique Labarrière. Ou devrais-je dire, l’humour de Dominique Labarrière, car c’est avec délectation que j’ai englouti ce billet. Je ne connaissais pas non plus Aya Nakamura. J’étais persuadé qu’il s’agissait d’une marque de vélo. Et bien, j’ai regretté que ça ne le fût pas. L’article terminé, je me suis jeté avec Michèle Guérin, qui habite à La Baule, nous fait le plaisir de nous adresser cette photo de vacances : « La Baule+ en voyage à Malte sur le port coloré de Marsaxlokk. » Merci Michèle, d’avoir pensé à emporter La Baule+ avec vous ! Michèle Guérin à Malte Gilles Ropert réagit au billet de Dominique Labarrière publié dans l’édition d’avril et revient sur « l’anéantissement culturel et sociétal que l’on nous inflige avec une désolante ponctualité. » Dans ce contexte, il déclare : « Je suis à l’origine de la création du square de la France Libre établi sur le pont Chevrel. Depuis peu, les drapeaux britanniques et de la France Libre y ont été établis, donnant au site une visibilité unique. Ceci a été rendu possible par l’accueil particulièrement bienveillant que Franck Louvrier a bien voulu réserver à notre demande. L’utilisation contemporaine et abondante de la période Une précision de Gilles Ropert de la Deuxième Guerre mondiale néglige avec constance le commencement de la lutte contre « la peste nazie ». Pendant deux ans la Grande-Bretagne fut le havre des combattants de la liberté. Depuis une trentaine d’années, je m’efforce de rappeler les luttes meurtrières des Français libres et le courage du peuple britannique. Il y a eu tant de sacrifices individuels, ici et ailleurs, avant le 8 mai 1945 où les nouveaux résistants apparurent d’abondance. Des documents uniques témoignant de la variété sociale des Français libres seront publiés dans un livre à paraître très prochainement. Le respect de la vérité historique n’est pas toujours une source inspirante pour ceux qui s’en réclament dans des buts variés ! » Gilles Ropert. Merci Monsieur de nous avoir signalé la parution prochaine de votre livre que nous attendons avec impatience et, évidemment, vous serez le bienvenu pour en parler. frénésie sur mon portable pour aller voir sur YouTube ce génie qui a envoûté notre président. Brel disait, il faut aller voir, la chose merveilleuse c’est ce que nous ne connaissons pas. Et vlan. Là on peut dire qu’il s’est planté, enfin par respect à ce chansonnier et poète génial, c’est nous qui nous sommes plantés. Pauvres chansons françaises. Je pense à Brassens, Ferré, Moustaki, Ferrat, Chelon, Nougaro, Leforestier et bien d’autres qui ont modestement travaillé leur texte et pudiquement posé quelques notes dessus pour mieux nous faire comprendre et surtout écouter la douce musique qu’ils ont dans leurs cœurs. Merci Dominique. Yann de Kerhouguet (courriel) Après ce sera beau ! Voilà l’argument massue fréquemment entendu depuis plusieurs années sur la Presqu’île. Oui mais quand ? Et après quoi ? Une tranchée à peine rebouchée qu’une autre se creuse quelques centaines de mètres plus loin au carrefour suivant (coordination entre les différents services Réseaux et Voiries ?) Pendant dix mois de l’année, les résidents qui vivent et travaillent au « pays des vacances » subissent déviations, modifications des sens de circulation, perturbations aléatoires des transports en commun, stationnements difficiles. La voirie est-elle à ce point dégradée, les réseaux sont-ils tous à reconstruire ? La circulation automobile reste essentielle pendant la période hivernale pour les habitants, les artisans, les commerçants. Qui peut imaginer que tous vont utiliser le vélo ? Mais rassurons-nous, tout sera prêt pour juillet et août. J.D. (La Baule) Pour nous écrire : redaction@ labauleplus.com Votre mensuel La Baule+ la baule+ - Un journal conçu sur la presqu’île et imprimé en France - Une entreprise locale qui paye ses impôts en France - L’intégralité des collaborateurs et dirigeants sont domiciliés sur la presqu’île et payent leurs impôts en France
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